•  Le 20 Juin, il y avait Conférence-débat avec Henri Huille, sur la PMA et la GPA.

     Le 20 Juin, il y avait Conférence-débat avec Henri Huille, sur la PMA et la GPA.

    « La PMA (Procréation Médicalement Assistée) et la GPA (Gestation pour Autrui) sont-elles de nouvelles libertés à conquérir   ou  faut-il en rester à l’actuelle législation en France?» 

    REECOUTER DES EXTRAITS:

    1-

    2-

     

        

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  • Dossier du n° 309 : L’économie pourpre

    On aurait tort de croire que l’offensive politique de l’Église catholique romaine ne concerne que la France. Certes l’usure politique de toutes les forces qui soutiennent les institutions de la Ve République est visible, son squelette apparaît en quelque sorte, des officiers et des prêtres descendent dans la rue avec la « Manif pour Tous », le syndicalisme chrétien appelle à l’application des plans gouvernementaux, le Premier ministre appelle à assister à la messe… mais chacun voit bien que le retour des clercs sur le terrain directement politique ne concerne pas seulement la France, ni l’Europe.

    Le dossier de ce numéro en donne un aperçu sous un angle particulier, mais essentiel, celui de la « pompe à phynances » . La pataphysique nous enseigne en effet que la pompe à phynances est liée à la machine à décerveler par la logique des vases communicants et, il semble bien qu’Ubu, conseiller du roi de Pologne à la fin du XIXe siècle, conseille aujourd’hui les gouvernements dans le monde entier.

    Le titre du dossier « L’économie pourpre » et son idée même sont liés à un livre publié il y a quelques années par notre ami Max Wallace. Au moment de vous donner à lire ce numéro de « L’Idée Libre », deux choses me viennent à l’esprit : exprimer la gratitude de la rédaction aux contributeurs internationaux et proposer de prolonger cette étude et les actions qu’elle suggère pour enrayer la machine à décerveler.

    Michel Godicheau
    http://www.fnlp.fr/spip.php?article1274
    JPEG - 74.4 ko
    couverture IL 309

    JPEG - 54.4 ko

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    Loi Debré et Conseil Général 04:

    subventions 2014  et 2015 à l'enseignement catholique:

    Dossier du n° 309 : L’économie pourpre

    Télécharger « CG04 loi Debré 2014 2015.doc »

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  • Michel Godicheau reçoit Jean Sébastien Pierre, président de la FNLP

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  • La Libre Pensée renoue avec sa tradition de débat avec les représentants des religions en défense de la liberté de conscience

    La Libre Pensée renoue avec sa tradition de débat avec les représentants des religions en défense de la liberté de conscience


    Depuis quelques temps déjà, le rayonnement accru de la Libre Pensée, son rôle pour la défense de la laïcité, son action juridique pour défendre la loi de Séparation des Églises et de l’État, font que les religions s'adressent de nouveau à elle pour débattre des questions de laïcité, de la loi de 1905, de (...)

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     Eric Viot: Bonsoir,  Pour information, Amendement défendu par M. Candelier, député du Nord. Bien cordialement

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    Eric Viot: Bonsoir,  Pour information, Amendement défendu par M. Candelier, député du Nord. Bien cordialement

     M. le président. Nous en venons à l’amendement n26.Sur cet amendement, je suis saisi par le groupe de la Gauchedémocrate et républicaine d’une demande de scrutin public.Le scrutin est annoncé dans l’enceinte de l’Assemblée nationale.La parole est à M. Jean-Jacques Candelier, pour soutenir l’amendement.

    M. Jean-Jacques Candelier. En novembre 2014, nous avons commémoré le centenaire du début de la Première Guerre mondiale. Tous les historiens s’accordent à dire que ce conflit est l’un des plus meurtriers de l’histoire de l’humanité. Cent ans plus tard, une injustice criante n’a toujours pas été réparée : en effet, les 639 « fusillés pour l’exemple », sacrifiés au nom d’une discipline imbécile, et pour des motifs insupportables, n’ont toujours pas été réhabilités. Ces hommes n’étaient pas des traîtres, ni des lâches ; ils avaient sûrement compris, comme Anatole France, qu’on croit se battre pour la patrie, mais qu’on meurt pour les industriels et les banquiers.

    Le Gouvernement dispose d’informations précises, qui lui permettent d’opérer une distinction entre, d’une part, les fusillés pour l’exemple, aunombre de 639, et d’autre part, les 369 autres fusillés. Plus aucun obstacle ne s’oppose donc à la réhabilitation collective des fusillés pour l’exemple, qui ont pris le parti de la paix dans des conditions exceptionnelles. Il est plus que temps de réunir enfin dans une seule et même mémoire apaisée tous ceux qui, durant cette guerre, sont morts pour la France. Ces soldats furent, comme les autres combattants, les victimes d’une guerre injuste et d’un commandement souvent défaillant.

    Cet amendement tend à rétablir l’honneur de tous ces hommes, mais aussi celui de la France, qui a assassiné sciemment une partie de ses enfants.

    M. le président. Quel est l’avis de la commission ?

    Mme Patricia Adam, rapporteure. Cet amendement a été rejeté par la commission ; je vais expliquer pourquoi.
    Conformément à l’engagement du Président de la République, un gros travail a été effectué avec Antoine Prost, historien, qui a remis un rapport très détaillé sur cette partie de notre histoire, un rapport scientifique auxquels de nombreux historiens spécialistes de la période ont également participé.
    À l’issue de ce rapport, quatre hypothèses ont été évoquées : ne rien faire ; procéder à une réhabilitation générale, comme ce fut le cas en Nouvelle-Zélande ou en Grande-Bretagne ; procéder à une réhabilitation au cas par cas ; procéder à une réhabilitation morale, avec éventuellement un lieu de mémoire dédié. C’est cette dernière option qui a été retenue, et ce lieu de mémoire existe aujourd’hui : au musée de l’Armée, aux Invalides, il y a maintenant une place pour ces hommes. Les dossiers des conseils de guerre ont tous été numérisés ; ils sont disponibles sur internet, pour que chacun puisse accéder aux informations qu’il souhaite avoir sur cette triste période de notre histoire.

    M. Jean-Jacques Candelier. Ce n’est pas suffisant !

    M. le président. Quel est l’avis du Gouvernement ?

    M. Jean-Yves Le Drian, ministre. En complément de ce que vient de dire la présidente de la commission, et pour justifier l’avis défavorable du Gouvernement, l’expression « Fusillés pour l’exemple » ne renvoie pas à une catégorie juridique définie par les textes, mais à un ensemble de militaires qui auraient été injustement condamnés à être passés par les armes après décision d’une juridiction militaire. Réhabiliter collectivement et sans examen au cas par cas l’ensemble des militaires exécutés dans ces conditions reviendrait à remettre en cause rétroactivement le code de justice militaire alors applicable, ce qui ne pourrait que donner naissance à des procédures judiciaires complexes et incertaines.

    M. Thierry Mariani. Très bien !

    M. Jean-Jacques Candelier. D’autres pays l’ont fait !

    M. Jean-Yves Le Drian, ministre. Par ailleurs, l’attribution automatique de la mention « Mort pour la France », qui serait attachée à la réhabilitation collective, reviendrait à porter atteinte à une exigence très forte du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre, qui exige que le décès soit la conséquence directe d’un fait de guerre.

    Voilà les raisons pour lesquelles le Gouvernement est défavorable à votre amendement – en plus de ce que vient de dire Mme la présidente Adam sur la question de la révision de la situation des fusillés pour l’exemple, dont on a beaucoup parlé au moment du centenaire du début de la guerre de 1914-1918.

    M. Jean-Jacques Candelier. Cela fait cent ans que l’on en parle !

    M. le président. Je mets aux voix l’amendement n26.

    (Il est procédé au scrutin.) 

    Voici le résultat du scrutin :

    Nombre de votants

    27

    Nombre de suffrages exprimés

    25

    Majorité absolue

    13

    Pour l’adoption

    2

    contre

    23

    (L’amendement n26 n’est pas adopté.) 

     ________________________________________________________________________________________________________________

    RAPPEL

    Eric Viot: Pour information, Amendement défendu par M. Candelier. Rappel position de la Libre Pensée

    LA POSITION DE LA LIBRE PENSEE QUI N'A PAS VARIE DEPUIS QU'ELLE A RELANCE LE COMBAT POUR LA RÉHABILITATION DE TOUS LES FUSILLES POUR L'EXEMPLE 14-18:

    Sur l’amendement proposé par Jean-Jacques Candelier au budget des armées, nous sommes résolument contre toute forme de pardon (Nous sommes en République, pas en monarchie). Pas plus que la République doit « accorder » son pardon aux Fusillés, elle n’a à demander son pardon aux Fusillés et à leurs familles. Cette démarche doloriste n’a rien à voir avec notre combat. Nous ne demandons pas l’attribution de  la mention Mort POUR la France à ceux qui sont morts PAR la France. Quant à l’inscription sur les Monuments aux Morts des noms des Fusillés, notre position reste la même : cela appartient aux familles et à elles-seules.

    La Libre Pensée ayant pris acte du refus répété du président de la République qui s'est honteusement parjuré, agit dorénavant pour l'érection d’un monument en hommage sur la ligne de Front. C’est nous, parce que nous sommes aussi la République, qui réhabiliterons tous les Fusillés pour l’exemple.

     A noter que, même doloriste et "patriotard", l'amendement du député J.J.Candelier a été vivement rejeté!

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