• LONGUE VIE A PHILAE Au service de l'humanité!

    LONGUE VIE A PHILAE  Au service de l'humanité!LONGUE VIE A PHILAE  Au service de l'humanité!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    LONGUE VIE A PHILAE  Au service de l'humanité!

    LONGUE VIE A PHILAE

    Au service de l'humanité!

    20 années de recherche de centaines de chercheurs

    pour seulement 1,3 milliards, hors traité de Lisbonne.

    Et c'est pas fini!

    Dès qu'il aura rechargé ses batteries via le rayonnement solaire, le petit robot va reprendre son exploration.

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    Un article de François Péricard 

    LONGUE VIE A PHILAE  Au service de l'humanité!

    Télécharger « Rosetta-philae-tchouri.pdf »

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    "L’Union européenne contre les savoirs

    Les crédits accumulés seront validés sur le grand marché européen de l'emploi. Dans le même temps, l'Union européenne impose de définir les maquettes de formation non en termes de savoirs, mais de compétences. Les étudiants ne sont plus censés s'approprier des connaissances, ils doivent faire preuve de leur capacité à se placer sur le marché du travail.

    La liberté de recherche, apanage de l'Université publique en France, est tout aussi menacée par le système économique libéral du traité de Lisbonne: l'objectif d'accroître la compétitivité technologique européenne permet aux décideurs privés d'orienter les programmes de recherche, non seulement ceux qu'ils financent en partie, mais aussi ceux qui concernent la recherche fondamentale publique, en mettant en place des règles de financement fondées sur des projets qu'ils déterminent d'avance, en fonction de leurs objectifs de rentabilité.

    Ces puissants lobbies, introduits progressivement dans la plupart des instances de décision et d'évaluation, refusent d'admettre que les découvertes ne se font pas sur l'injonction d'un calendrier bureaucratique et que les retombées de la recherche fondamentale sont le plus souvent imprévisibles. Ils établissent une économie politique de la recherche à court terme, et non un plan pour la recherche. Or il faut entendre les chercheurs: on ne peut manager la recherche comme une entreprise, à moins d'en faire un outil mortifère pour la science et la société.

    L'université est dans une phase critique. Le poids du religieux et celui du marché portent atteinte à ses fondements: formation à l'esprit critique, acquisition de connaissances non dogmatiques, libre recherche et intérêt général. C'est bien de la défense de la laïcité à l'université qu'il s'agit."

    Françoise Olivier-Utard - in La Raison n°597 (extrait page 20)

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    « Lettre ouverte à monsieur Olivier Schrameck, Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA)Hérésie, apostasie, blasphème chez Augustin, saint »
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